Il s’agit d’une augmentation de 3.000 personnes en un an, soit un peu moins de 2 %. Selon ces statistiques, 79,8 % d’entre eux sont des arabes munis d’un passeport israélien, le reste se composant de baptisés en provenance de l’ancienne Union soviétique – ayant bénéficié de la loi du retour en vertu de leur ascendance juive – et un
plus petit contingent de chrétiens de diverses nationalités.
Il ne s’agit que des chrétiens israéliens et non pas des chrétiens palestiniens vivant ou travaillant en Israël. Tous ne sont pas latins. Le pays fait figure d’exception dans un Moyen-Orient qui a tendance à se vider de ses populations chrétiennes.
Source : La Croix du 7 janvier 2014